J'ai envie de vomir.
Prince Charmant fait du forcing !
Farniente...
Ouiiiii !
Novak Djokovic
Si il y a bien une patisserie que je déteste, c’est bien le beignet. Qu’il soit fourré aux pommes ou saupoudré de sucre glace, JE DE-TES-TE ,
Ray-Ban RB4086!
C’est déjà mal parti pour un jeune homme qui vend des beignets au loin sur la plage.
Beignets Guy (Pire super-héro, EVER !) fait du forcing !
Si je dois bien lui accorder une qualité, c’ est qu’il est tenace.
Beignets Guy a fait TROIS approches. Si ce n’est pas être têtu ? Quoique, à la 3ème tentative, il m’a presque eut si seulement… Bref,
La persistance, ça paye.
(Ca dépend, bien sûr. Je ne veux pas vous donner des idées, les garçons. Les filles détestent les relous qui ne comprennent pas que « non, c’est non ! »)
1 ère TENTATIVE.
Avant une quelconque tentative, il y la rencontre.
Quand nos deux yeux se rencontrent pour la première fois et on ne peut détacher notre regard l’un de l’autre. Et on dit à notre meilleur ami à côté de nous : « Tu vois cette fille ? Je vais l’épouser » (Ted)
Bon, pour moi et mon homme aux beignets, ça s’est presque passé comme ça.
Presque… Enfin, un peu… Bon, pas du tout.
J’étais allongée sur mon transat en bikini rose. Rayban Wayfarer sur mon nez, casquette Von Dutch vissé sur la tête, musique plein les oreilles grâce à mon casque blanc SENNHEISER, et perdu dans l’article de COSMOPOLITAN du mois de août : « Les mecs bien sont partout ! Il suffit de les aimer ». (Mais bien sûr…)
Non, je n’ai pas été sponsorisé par : Rayban - Von Dutch - Sennheiser - Cosmopolitan.
Même si tout mes sens sont occupés, je plains comme même le pauvre Beignets Guy qui essaye de vendre ses beignets sous une chaleur étouffante. Il essuye refus sur refus, il me fait de la peine. « Oh, un Sprite ! Merci, toi ! » Et je passe à autre chose et j’oublie la pitié que j’éprouvais pour Beignets Guy. Je sirote maintenant tranquillement mon Sprite. Mon attention est très limité comme vous pouvez le constater.
Beignets Guy arrive enfin près de moi sauf que je ne lui daigne même pas un regard.
J’entends « Beignets », mon cerveau hurle : « Casse toi avec tes beignets pourris. » Dans la réalité, sans cesser ma lecture , je dis « No. No. » .
Sauf qu’il ne bouge pas. Il pose son carton de beignets sur le haut de mon transat. Je le sens mais je ne le regarde toujours pas. Je me dis qu’il doit être fatigué, normal,
ray ban online store, après tout. Je serai une vraie salope si je lui disais « Barre toi de mon transat ». En plus il ne me gênait pas, pourquoi chercher les ennuis ?
Je sens son regard sur moi. Je suis souvent embarrassé quand un garçon me regarde un peu trop longuement, alors en Bikini… Oui, j’étais gênée. Quand il est reparti, j’ai poussé un grand ouf… Pensant ne plus le revoir.
Et je me trompais terriblement.
2 ème TENTATIVE
Peut être ne comprendriez vous pas l’objet de ma peur. Peut être pas.
Après une bonne lecture, je tombe dans les bras de Morphée. Je sens les rayons chaud du Soleil sur moi quand soudain je ne sens plus la chaleur. Je me dis que le Soleil a dû partir, too bad… J’ouvre les yeux et j’enlève doucement mes
lunettes de soleil. Je vois alors des cheveux noirs, un sourire, un t-shirt blanc, un short bleu et des putains de beignets.
Oh non,
wayfarer ray ban prix, pas lui…
Mais il y a une grande question qui me vient soudain à l’esprit : Depuis combien de temps il me regarde dormir ?
Je trouve ça super super glauque de regarder quelqu’un dormir, pas vous ?
« Oh non, Edward Cullen fait ça. C’est trop romantique… »
NON ! NON ! Ca ne l’est pas. Ne répondez pas une connerie pareille !
« Beignets ? » Me re-propose t-il.
-No. répondis-je.
Une autre pensée me vient : Utilise t-il de son charme pour vendre ses putains de beignets ?
Je trouve ça encore plus pathétique.
3 ème TENTATIVE
Je ne lis plus Cosmopolitan mais « L’histoire du monde de 1900 à 1945″.
Ce n’est pas que je suis en vacances que je suis obligé de lire « Public, tout est public ! » (Les gens se sentent-ils obligés de lire de la presse people pendant les vacances ?)
Beignets Guy revient à la charge. Cette fois, plus sérieusement. Il s’assoit sur le transat à côté de moi, il pose ses beignets.
Il me parle en Croate. Je fronce les sourcils. Il comprend que je ne comprends pas un mot de ce qu’il vient de me dire.
Soudain, je remarque qu’il a un visage intéressant.
Je me lève de mon transat pour m’assoir. J’enlève mes
lunettes de soleil. Je mets mon bouquin chiant de côté. J’enlève mon casque. Il me fait penser à quelqu’un mais à qui ? Ah oui…
Beignets guy me sourit. Il a enfin capté mon attention totale. Et c’est bien vrai…
« Do you speak English ? Me demande t-il.
-Yes… Répondis-je, en le détaillant.
-You’re English ?
-No, I’m French.
-Oh… Cool. Do you want beignets ? »
Oh… Non… Le revoilà parti dans ses beignets…
« I don’t have any money. I don’t have Kuna. (La monnaie en Croatie.). Répondis je, un peu vexée.
-For you, it’s free. »
OOOOOHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH… C’est Mignon…..
Mais je déteste tout de même les beignets. Rien qu’en sentant l’odeur d’un beignet, je vomis.
Je le vois emballer un beignet et me l’offrir. Je le prends comme même.
Parce que… Ca ne se fait pas et pas parce qu’il me plaît.Ca va sans dire…
« Thank you ! Remerciai-je.
Et… Mon frère arrive à ce moment précis.
Quel super timing…
« Tiens. Qu’est ce qu’il voulait ? Me demanda Super-Grand frère
Je regarde l’endroit où Beignets Guy était assis, il n’est plus là. Il était déjà loin sur la plage.
-Rien. Il ne voulait rien. Répondis-je, avec un grand sourire aux lèvres et un beignet entre les mains. Putain…
Hey, Chris ( Prénom du Super-Grand frère), tu veux un beignet ?
-Ouais ! Bien sûr ! (Morfale, va !)
P-S : Vous avez des trucs pour réussir à dormir facilement ? J’ai dû mal à dormir. Peut être à cause de la rentrée qui approche à grand pas. Enfin je sais pas. Des conseils ?
« Quelqu’un pourrait penser que nous allons bien.
Mais nous avons besoin de somnifères p our dormir la nuit.
Nous avons besoin de mensonges p our survivre aux jours.
Nous n’allons pas bien »
(Pills – The Perishers)